Les gens trop gentils me fatiguent… et peut-être toi aussi
Soyons honnêtes : les gens trop gentils me fatiguent. Et si tu es là, c’est que toi aussi, tu l’as pensé un jour. Pas forcément à voix haute, mais quelque part entre deux sourires polis forcés, tu t’es dit : « Mais pourquoi cette personne est encore aussi gentille ?! » Elle t’offre son aide quand tu veux juste qu’on te foute la paix, elle te fait des compliments gênants au petit-déj, elle insiste pour te raccompagner alors que tu viens littéralement de dire que tu allais bien.
Et ce n’est pas que tu sois ingrat·e. Tu as une dose de bienveillance dans le cœur, hein. Mais au bout d’un moment, cette fatigue émotionnelle relationnelle, elle s’installe. Comme un pull qui gratte. Tu souris pour ne pas froisser, tu dis “merci” pour ne pas culpabiliser, tu joues la carte de la politesse alors que ton cerveau hurle : “Pitié, trop, c’est trop.”
Et tu sais quoi ? C’est OK.
Tu as le droit d’être épuisé·e par trop de gentillesse. Surtout quand elle se transforme en comportement pesant ou en besoin de reconnaissance déguisé. Tu ne t’en rends pas toujours compte sur le moment, mais tu ressors de ces interactions avec la sensation étrange d’avoir été vidé·e… alors que tu n’as rien demandé.
C’est exactement pour ça que j’ai imaginé cet atelier d’écriture. Pour te permettre de poser des mots sur ce que tu n’oses pas dire, sans passer pour un monstre insensible. Tu vas pouvoir écrire à cette personne qui te fatigue avec sa gentillesse envahissante. Ou bien, si tu sens que c’est toi le ou la trop gentil·le (on est nombreux dans ce cas-là), tu pourras te parler à toi-même. Avec sincérité, humour et un brin d’audace.
Et si tu te demandes qui je suis au passage : moi c’est Christophe, je suis rédacteur web et écrivain public, et je propose ces ateliers gratuits sur Castelweb parce que j’adore l’écriture, les gens qui doutent, et les vérités pas toujours confortables. Mais soyons clairs : je ne vis pas d’amour et d’eau tiède (ni même de câlins de gentils), alors si tu as besoin un jour d’un article SEO bien ficelé ou d’une lettre qui dit enfin ce que tu veux dire, tu peux aussi me passer commande.
Mais d’abord, on va écrire. Sans filtre. Sans fausse politesse. Et peut-être même sans dire “merci”.
Tu continues ? Allez. On parle maintenant de ce moment précis où trop de gentillesse devient trop. Et là, crois-moi, tu vas te reconnaître.
Quand la gentillesse devient une pression

“Elle brille. Lui regrette de ne pas avoir simulé un malaise pour fuir.”
Tu vois, au début, c’est sympa. Cette personne te demande comment tu vas. Elle te sourit avec insistance. Elle propose de t’aider pour un truc que tu n’as même pas mentionné. Elle t’écrit “Coucou toi 😊” à 8h07 un dimanche.
Mais très vite, cette attention constante devient un piège mou. Tu ne sais plus comment dire non. Tu te sens coincé·e dans une relation où tu n’as plus le droit d’être distant·e, ou juste neutre. Tu te retrouves à jouer un rôle. À répondre. À remercier. À culpabiliser de ne pas vouloir plus de lien.
Faux gentils : comment les reconnaître sans culpabiliser
Ce n’est pas qu’ils sont mauvais. Mais parfois, les faux gentils sont les meilleurs comédiens. Ils sourient tout le temps, mais ça sonne faux. Ils insistent. Ils veulent “ton bien” alors qu’ils n’écoutent pas vraiment ce que tu dis. Ils offrent sans écouter, et finissent par t’en vouloir en silence.
Et toi ? Tu sens le malaise. Un truc invisible, mais bien là. Parce que cette gentillesse n’est pas gratuite. Elle attend quelque chose en retour : de la reconnaissance, de l’amour, une place dans ta vie que tu ne veux pas forcément accorder.
Être obligé·e de dire merci (alors qu’on a juste envie de fuir)
C’est le piège. Tu dis merci, encore et encore. Par automatisme. Par réflexe. Parce que tu as appris, enfant, qu’il fallait être poli·e. Qu’il ne faut pas faire de peine. Et voilà comment tu tombes dans le ras-le-bol des gentils, cette sensation étrange d’être envahi·e de bonnes intentions… au point de vouloir partir en courant.
Exemples de micro-pressions qu’on subit sans le dire
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Le “J’ai pensé à toi” qui t’oblige à répondre alors que tu n’avais rien demandé.
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Le “Je suis là si tu veux parler” répété comme un mantra.
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Le cadeau qui tombe à côté mais te fout mal à l’aise de ne pas sauter au plafond.
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Le message “Tu me manques” après deux jours de silence radio.
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Le “Dis-moi ce que je peux faire pour t’aider”… alors que tu voulais juste un peu d’espace.
Tu vois le tableau ? Rien de méchant, rien de grave. Mais épuisant, à la longue. Et crois-moi, je sais de quoi je parle…
Et si maintenant, tu essayais d’écrire tout ça ? Sans filtre. Sans obligation de douceur. Juste toi, un stylo (ou un clavier), et ce que tu ressens vraiment.
Écrire ce qu’on n’ose pas dire : un atelier pour libérer
On ne va pas se mentir : dire à quelqu’un “ta gentillesse m’épuise”, ça ne passe pas crème au dîner de famille. Ni au bureau. Ni dans un SMS de rupture (même en y mettant un GIF mignon). Pourtant, ce genre de phrase existe en toi. Elle tambourine quelque part, en silence.
Et comme tu ne peux pas toujours la dire, tu peux l’écrire. C’est là que ça devient intéressant.
Pourquoi écrire soulage plus que hurler dans un coussin
Hurler, c’est rapide, bruyant, mais ça ne dure pas. Écrire, c’est poser. C’est choisir les mots. Ecrire, c’est hurler en silence. C’est te choisir, en fait. Tu ne passes pas par le filtre de la politesse ou de la peur de blesser. Tu déposes. Tu regardes ce que tu ressens vraiment, sans noise-cancelling moral.
Et tu sais quoi ? C’est mille fois plus efficace pour sortir ce qui te colle au ventre depuis des jours, des mois, parfois des années.
Propositions d’écriture : tu peux tout lâcher
Je t’invite à écrire une lettre que tu n’enverras jamais. À quelqu’un de trop gentil, trop présent, trop “tout ce que tu ne peux plus supporter”. Tu peux commencer par :
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“Tu es si gentil·le… et pourtant, j’ai besoin que tu me laisses respirer.”
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“Je sais que tu fais tout ça par amour. Mais je n’en peux plus.”
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“Ta gentillesse me colle à la peau comme une chemise mouillée.”
Tu peux l’écrire avec colère, avec humour, avec tendresse. Tu peux même t’arrêter au milieu, soupirer, et reprendre demain. Il n’y a pas de règle. Il y a juste ce que tu ressens, et l’espace pour le dire.
Variante : et si le ou la trop gentil·le, c’était toi ?
Petit twist : peut-être que tu te reconnais aussi dans l’autre rôle. Celui du ou de la gentille qui dit oui à tout, qui fait des efforts, qui s’oublie pour les autres. Alors tu peux aussi t’écrire à toi-même.
Commence par exemple par :
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“J’ai cru que j’étais gentil. En fait, j’avais juste peur qu’on m’abandonne.”
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“Je ne supporte pas l’idée de décevoir, alors j’en fais trop. Mais j’en ai marre.”
L’écriture ne juge pas. Elle révèle. Elle remet de l’air là où tu te sens enfermé·e. Et parfois, elle te fait rire de toi-même. Ce qui est déjà une victoire.
Et toi, tu veux que je publie ton texte ?
Tu viens d’écrire quelque chose. Peut-être une lettre un peu rageuse. Ou un texte plein de tendresse agacée. Tu as peut-être ri, pleuré, soupiré — ou tout ça à la fois. Tu penses que c’est “pas très bon” ? Tu crois que “ça ne vaut pas la peine d’être lu” ? Alors laisse-moi te dire une chose : ce que tu viens d’écrire a une valeur. Rien que pour toi, d’abord. Et peut-être pour d’autres, ensuite.
Parce que ce que tu ressens, d’autres le ressentent aussi. Peut-être que ton texte aidera quelqu’un à mettre des mots sur un malaise qu’il n’osait pas nommer. Peut-être qu’il fera rire une personne trop gentille… qui se reconnaîtra. Peut-être qu’il sera simplement lu, apprécié, respecté. Et ça, c’est déjà énorme.
Comment me l’envoyer (sans te mettre la pression)
Si tu as envie que ton texte soit publié sur Castelweb, tu peux me l’envoyer :
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Par mail (contact[@]castelweb.fr)
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Ou via le formulaire de contact sur le site
Tu peux signer de ton prénom, d’un pseudonyme, ou rester totalement anonyme si tu préfères. Tu peux m’ajouter une petite note, un mot d’intro, ou rien du tout. C’est comme tu veux.
Je lis tout avec attention. Je ne juge pas. Je choisis quelques textes à publier dans la rubrique Écrire pour soi, avec cœur et respect. Et bien sûr, je te préviens avant toute mise en ligne.
Ce que ça peut t’apporter
Publier, ce n’est pas “se montrer”. C’est partager une part de soi qui fait écho à d’autres. C’est poser un petit caillou sur le chemin de quelqu’un. Et c’est aussi une façon d’assumer ce que tu ressens, de façon publique, mais sans obligation de te justifier.
Et si ça te donne envie d’aller plus loin avec moi, tu verras juste après que je peux t’accompagner pour écrire autre chose : un courrier personnel, un texte sensible, ou même un article professionnel pour ton site.
Mais d’abord, laisse infuser. Relis ton texte. Respire un coup.
Et si le cœur t’en dit : partage.
Et si on travaillait ensemble ?
Tu viens de prendre un moment pour toi. Pour écrire. Pour réfléchir. Peut-être même pour rire un peu en te disant “bon, c’est vrai que cette gentillesse, là, elle me fatigue vraiment”. Et maintenant, si on allait un peu plus loin ?
Moi, je suis rédacteur web et écrivain public, et ce que j’adore, c’est mettre des mots sur ce que les autres ont du mal à exprimer. Que ce soit dans une lettre personnelle, un article pour un site professionnel, ou une page “à propos” un peu bancale qui mérite mieux qu’un “Bonjour, je suis passionné·e depuis toujours”.
Tu veux un texte clair, sincère, qui dit ce que tu n’oses pas écrire ?
Je peux t’aider à :
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Écrire un courrier à l’administration (sans te noyer dans le jargon)
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Dire les choses à quelqu’un, avec tact mais sans te trahir
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Mettre des mots justes sur une situation compliquée
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Raconter un moment de ta vie, pour toi ou pour transmettre
Je propose une offre spéciale pour les nouveaux clients, histoire de tester sans risque.
Tu tiens un site ? Tu veux attirer les bonnes personnes ?
Alors là, c’est mon autre casquette : rédacteur SEO. Je rédige des articles optimisés, humains, pas bourrés de mots-clés moches. Des textes qui donnent envie de lire (et de cliquer). J’ai travaillé avec des artisans, des thérapeutes, des commerçants, des associations… Bref, des humains, pas des algorithmes.
Et toi, tu pourrais être le prochain ou la prochaine.
Ce que tu prends, ce que tu laisses, et ce qui fait du bien
Si tu ne fais rien d’autre après cette lecture, tu auras au moins pris un moment pour toi. Tu auras peut-être déposé un truc qui te collait au cœur depuis un moment. Et peut-être, qui sait, que tu vas te remettre à écrire pour de vrai. Pour toi. Pour les autres. Ou pour le plaisir simple de dire les choses.
Et si tu veux aller plus loin, tu sais où me trouver.
Je suis Christophe. Et je t’écoute. Et je t’écris, si tu veux.
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