Burnout et écriture : quand tu n’en peux plus, mais que t’as encore un stylo

Tu vis un burnout ou tu sens que tu flirtes dangereusement avec lui ? Peut-être que ton cerveau fait des bruits de moteur en fin de vie, que tu pleures devant ton grille-pain ou que tu n’arrives plus à écrire un simple texto sans soupirer. Dans ce genre de moment, tu n’as pas besoin d’un énième conseil bienveillant sur la respiration en carré. Ce qu’il te faut peut-être, c’est un atelier d’écriture burnout, en ligne, gratuit, accessible, et sans aucun besoin d’avoir “fait L” ou publié un roman chez Gallimard.

Je te propose un atelier pour écrire sur le burnout, pas pour en faire un poème tragique ou un post LinkedIn larmoyant. Non. Juste pour que tu puisses poser ce que tu vis. Parce que quand on touche le fond, parfois, mettre un mot devant l’autre, c’est déjà un petit pas vers la surface. Et on va pas se mentir : écrire, c’est souvent plus simple que parler.

Cet atelier, je l’ai conçu avec l’idée qu’écrire peut faire du bien. Mais pas que. C’est aussi une porte d’entrée vers autre chose : une reconversion, un besoin de s’exprimer, un projet en ligne, une lettre qu’on n’arrive pas à rédiger, un besoin de tourner la page, mais pour lequel on n’a pas les mots. Et là, entre deux exercices d’écriture, je me dis que c’est peut-être le bon moment pour te dire qui je suis vraiment.

Je m’appelle Christophe. Je suis écrivain public et rédacteur web SEO à mon compte. Pas une équipe. Pas une agence. Juste moi et mon clavier, au service de celles et ceux qui ont besoin de textes bien ficelés. Et parfois, tout commence avec un atelier gratuit comme celui-là.

Alors si tu as envie d’écrire pour te libérer, vider ton sac, ou peut-être entrevoir un projet plus large, bienvenue. Et reste jusqu’au bout, il y a même un petit cadeau pour les nouveaux venus.

Pourquoi écrire sur le burnout fait un bien fou

Bon, soyons clairs : écrire sur le burnout, ça ne va pas te remettre d’aplomb en une heure comme une tisane miracle ou un massage kundalini. Mais ça peut déjà t’éviter de mordre quelqu’un dans le bus, et rien que pour ça, ça vaut le coup.

Quand tu mets sur le papier ce qui te déborde, tu fais une chose précieuse : tu reprends un peu la main. Parce qu’un cerveau en surcharge, c’est comme un ordi trop vieux : ça rame, ça chauffe, et parfois, ça plante sans prévenir. Et écrire, c’est une manière douce de relancer le système.

Au lieu de ruminer, tu racontes. Au lieu de tout garder en dedans, tu fais circuler. Tu n’écris pas pour être lu, tu écris pour te libérer. C’est un espace à toi, sans attentes, sans obligation d’être drôle, inspirant ou brillant. Tu peux écrire que tu détestes ton réveil, ton open-space, ton caniche ou la machine à café, personne ne viendra te corriger.

Et puis, surtout, tu verras que ça fait du bien de poser des mots sur l’épuisement. Parce que tant que ça reste flou, ça pèse. Mais une fois que c’est écrit, même de travers, même maladroit, c’est déjà un peu plus respirable. C’est comme faire de la place dans une valise trop pleine : on n’en est pas encore aux vacances, mais au moins, on ferme la fermeture éclair.

C’est pour ça que j’ai voulu proposer cet atelier d’écriture bien-être. Il n’est pas là pour remplacer un suivi médical ni pour faire genre “l’écriture soigne tout”. Mais il permet de te reconnecter à toi. Et en période de burnout, se retrouver, même juste quelques minutes, c’est un sacré début.

Alors, prêt à vider un peu ton sac sans pression ?

Un atelier d’écriture en ligne, gratuit, pour vider son sac en douceur

Tu sais quoi ? On n’est pas toujours obligé de parler à voix haute pour se sentir un peu mieux. Parfois, ce qu’il faut, c’est juste un clavier, une feuille, un vieux stylo à moitié mâchouillé, et un petit moment à soi. C’est exactement ce que je t’offre avec cet atelier d’écriture en ligne, conçu tout spécialement pour celles et ceux qui traversent un burnout ou qui sentent bien qu’ils ne sont plus très loin de l’arrêt d’urgence.

Tu n’as pas besoin d’être doué en orthographe, ni d’avoir un passé littéraire glorieux. Ici, personne ne va te corriger, te noter ou te juger. L’objectif est simple : écrire pour te libérer, écrire ce que tu ne peux pas toujours dire, écrire ce que tu ne sais pas encore que tu ressens.

Et puis, entre nous, un atelier gratuit, c’est aussi l’occasion parfaite de te faire du bien sans exploser ton budget. Parce que si tu es en burnout, il y a de fortes chances que tu aies déjà assez donné – ton temps, ton énergie, ta patience, et parfois ton sommeil. Alors ici, on te rend un peu de tout ça, à coup de mots.

Grâce à des consignes d’écriture bienveillantes et accessibles, tu vas pouvoir explorer ton vécu sans pression. Tu peux t’y plonger le matin, le soir, entre deux siestes ou deux accès de “je ne supporte plus rien”. Tu es libre d’écrire deux lignes ou trois pages, de tout lâcher ou de juste entrouvrir la porte.

Et au passage, tu découvres peut-être une autre façon d’écrire : pas celle qu’on t’enseignait à l’école, mais celle qui t’aide vraiment, toi, là, maintenant.

Des consignes guidées pour écrire sans pression

Tu te demandes peut-être : “Mais qu’est-ce que je vais bien pouvoir écrire ?” Rassure-toi, je ne vais pas te lâcher dans une page blanche façon saut à l’élastique sans élastique. Dans cet atelier d’écriture bien-être, je te propose des consignes guidées, douces et bien pensées, pour t’aider à poser les mots sans te prendre la tête (ni le cœur en étau).

Tu verras, les thèmes tournent autour de ce que tu ressens, de ce qui t’épuise, mais aussi de ce qui te fait tenir, même quand tout fout le camp. Il y aura des invitations à écrire à ton corps, à ton employeur intérieur (celui qui te dit “vas-y, encore un petit effort !”), ou à cette partie de toi qui, malgré tout, tient debout. On peut être en burnout et encore plein d’humour, tu sais. C’est même souvent un des rares trucs qui tient la route quand tout le reste déraille.

Et surtout, je ne te demande pas de performer. Tu n’as pas à écrire “joli” ou “bien”. Juste vrai, même si c’est flou, brouillon ou rageur. Tu peux râler, pleurer, jurer, rigoler tout seul·e devant ton texte. Écrire sur le burnout, c’est parfois écrire avec les nerfs. Et c’est très bien comme ça.

Ces consignes, tu peux les suivre à ton rythme. Il n’y a pas de date limite, pas de note finale, pas de smiley en forme de carotte. Ce n’est pas un concours. C’est un refuge. Et si tu sens que tu veux aller plus loin ensuite – avec une lettre à adresser, un témoignage à poser, ou même un texte à publier – tu sauras que je suis là si tu as besoin d’un coup de pouce, sans pression.

Je peux t’aider à structurer ça, avec ma casquette d’écrivain public, ou t’épauler si tu veux raconter ton histoire en ligne grâce à un petit site ou un blog. Oui, parfois, le burnout devient le début de quelque chose. Et parfois, cette chose commence par une phrase toute simple : “J’en peux plus.”

Après l’écriture, que faire de tout ça ?

Une fois que tu as écrit, que tu as posé les choses… il se passe souvent un petit quelque chose. Un déclic. Un apaisement. Ou juste un silence plus respirable. Et parfois, tu te demandes : “Qu’est-ce que je fais de tout ça maintenant ?”

Tu peux le garder pour toi, bien sûr. Tu peux le relire, le laisser dormir, ou le brûler sous la pleine lune (si tu es dans ta phase sorcière, je ne juge pas). Mais peut-être aussi que tu sens que cette histoire mérite d’être racontée jusqu’au bout. Pas pour le monde entier, pas forcément pour les réseaux sociaux, mais pour toi. Ou pour laisser une trace.

Si tu as envie d’écrire ton histoire, celle qui t’a mené jusqu’ici — tes années à tenir bon, le moment où tout a basculé, ce que tu en fais aujourd’hui — sache que je peux t’accompagner. En toute simplicité. Avec écoute, patience, et le respect de ton rythme. Je suis écrivain public, et je travaille avec des personnes qui, comme toi peut-être, ont envie de mettre en mots un passage de vie, un tournant, une reconstruction.

Écrire ton récit de vie, ce n’est pas juste faire le bilan. C’est aussi t’autoriser à exister autrement, à reprendre la narration de ce que tu traverses. Et ça peut être un magnifique prolongement de ce que tu viens de commencer ici.

Et si tu veux te lancer mais que tu hésites encore, je propose un petit coup de pouce pour les nouvelles personnes qui me confient un projet : une réduction discrète, mais qui fait du bien.

Rejoindre l’atelier ou me contacter : et si on passait à l’écriture, là, maintenant ?

Tu as tenu jusqu’ici, bravo. Ça veut peut-être dire que quelque chose t’a parlé. Une phrase. Une idée. Ou ce simple besoin de dire “j’en ai ras-le-bol” quelque part où on ne te répondra pas “allez, courage”.

L’atelier d’écriture burnout est là, en ligne, prêt, gratuit, et il t’attend. Tu peux t’y plonger dès maintenant, entre deux mails ou entre deux soupirs. Il ne te demandera qu’une chose : un peu d’honnêteté. Et peut-être un vieux carnet qui traînait sous une pile de choses à faire.

Et si tu sens que tu veux prolonger l’expérience, que tu veux écrire autre chose, autrement, je suis là aussi. Discrètement. Humainement. Tu peux me contacter pour qu’on écrive ensemble ce que tu n’arrives pas encore à formuler seul·e : un courrier important, un texte professionnel, un projet personnel… Peu importe la forme, les mots viendront. On les fera venir ensemble.

Tu peux commencer par l’atelier. Ou par m’écrire. Ou par fermer la page et y revenir plus tard. Tout est ok. Mais si tu sens que c’est le moment, alors vraiment : écris. Là. Maintenant.

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