Castelweb utilise-t-il l’intelligence artificielle pour écrire ses articles ?

Castelweb et l’intelligence artificielle : un duo qui ne tape pas le texte à deux mains

La question pourrait m’être posée : Castelweb utilise-t-il l’intelligence artificielle pour écrire ses articles ? Et la réponse, vous allez la découvrir ici, en toute transparence – sans jargon, sans robot qui tapote en cachette, et surtout sans vous enfumer.

Je vais vous dire les choses franchement : oui, j’utilise l’IA. Mais non, elle n’écrit pas une ligne à ma place. Chez Castelweb, je suis seul à bord. Il n’y a ni stagiaire invisible, ni équipe offshore, ni logiciel qui génère des pavés creux en trois clics. C’est moi, Christophe Grégoire, rédacteur web indépendant, écrivain public, et auteur publié en 1998 (bien avant l’apparition de ChatGPT, oui oui).

Alors pourquoi utiliser l’intelligence artificielle, me direz-vous ? Eh bien, pour les mêmes raisons qu’un chauffeur routier utilise un GPS, ou qu’un menuisier se sert d’une perceuse au lieu d’une chignole. Pour gagner du temps sur les tâches techniques, pour améliorer ce qui peut l’être, mais surtout pas pour déléguer ce que seul un humain peut ressentir, écrire, transmettre.

Dans cet article, je vais vous dire :

  • ce que je confie à l’IA, et ce que je garde précieusement pour mes propres mains ;

  • pourquoi je ne la laisse jamais rédiger à ma place, même pas un petit paragraphe ;

  • comment les moteurs de recherche repèrent les textes trop artificiels (et pourquoi ce n’est pas bon pour vous) ;

  • et surtout, comment un contenu rédigé par un humain peut faire toute la différence pour votre visibilité.

Vous êtes artisan, thérapeute, commerçant ou indépendant, et vous cherchez à améliorer votre référencement naturel avec du contenu de qualité ? Parfait, c’est exactement ce que je propose. Et si c’est votre première commande, j’ai même une offre spéciale pour vous. Comme quoi, tout n’est pas numérique ici.

Allez, on entre dans le vif du sujet. Et je vous promets : chaque mot qui suit a été pensé, écrit, relu et approuvé par un vrai cerveau humain (le mien, pas celui du robot).

Ce que je confie à l’IA (et ce que je garde jalousement pour moi)

Je vais être clair : je travaille avec l’intelligence artificielle. Mais attention, je dis bien avec, pas à la place de. Si elle m’aide dans certains aspects techniques de mon métier, elle ne met jamais, ô grand jamais, son curseur dans mes phrases.

💡 Par exemple, quand je rédige un article SEO pour un artisan ou un professionnel du bien-être, j’utilise parfois l’IA pour :

  • vérifier que je n’ai pas trop répété un mot ;

  • structurer mes idées plus rapidement ;

  • générer une image réaliste ou humoristique pour illustrer l’article (et encore, je retravaille souvent le rendu) ;

  • faire une double vérification orthographique (oui, même les écrivains peuvent avoir un clavier capricieux).

Mais la rédaction pure ? Le style ? Le ton ? Les tournures ? Les jeux de mots ? Le clin d’œil local à Châteaubriant ou la référence fine au métier du client ? C’est 100 % moi.

Et ça, je vous le dis, parce que je n’ai rien à cacher. Ce que je vous vends, ce n’est pas un article cloné dans une base de données. C’est un contenu pensé pour vous, pour vos lecteurs, pour votre activité.

Alors qu’en face, soyons honnêtes…
De nombreux rédacteurs web utilisent aujourd’hui l’IA pour écrire l’intégralité de leurs textes. Certains le font en cachette, et pourtant, leurs tarifs ne sont pas plus doux. Contenu générique, prix premium : pas très cohérent, non ? Mais la patte artificielle se lit dès le premier paragraphe. Pas dans ma philosophie !

Chez Castelweb, j’assume mes outils et je vous les explique. C’est aussi ça, l’éthique dans le monde numérique. Et si mes prix sont souvent plus modérés que ceux d’un gros studio de rédaction, c’est parce que je sais optimiser mon temps intelligemment, pas parce que je sacrifie la qualité.

Et puis entre nous… le jour où une IA sera capable de comprendre l’humour des habitants de Loire-Atlantique, de glisser une référence au marché de Nozay ou d’adapter le ton à un naturopathe ou un coach en ligne… eh bien, je veux bien qu’elle écrive une phrase. Une seule. Mais on n’en est pas là.

Un outil parmi d’autres, pas un remplaçant

Alors oui, je travaille avec l’IA, mais je vous rassure : je ne lui ai pas laissé les clés de Castelweb, ni même le mot de passe de mon ordi. C’est un assistant, pas un rédacteur. Et certainement pas un collègue.

En fait, si on y réfléchit bien, l’IA n’est qu’un outil. Ni plus, ni moins. Comme un dictionnaire en ligne, un correcteur d’orthographe, ou cette fameuse calculatrice que votre prof de maths vous interdisait en contrôle (mais qu’il utilisait lui-même à la pause café).

Et ce n’est pas nouveau. Regardez un peu autour de vous :

  • Les comptables ont adopté les tableurs sans pour autant jeter leurs compétences à la poubelle.

  • Les enseignants piochent sur Internet pour enrichir leurs cours, sans que cela les rende moins pédagogues.

  • Les photographes retouchent leurs images… mais c’est toujours eux qui appuient sur le déclencheur au bon moment.

Bref, tout le monde s’équipe, s’adapte, avance avec son époque, et c’est bien normal. Moi, j’ai simplement choisi de faire pareil. ET DE LE DIRE !!!

Mais contrairement à certains, je ne fais pas semblant de rédiger tout seul pendant que l’IA turbine en fond. Je vous le dis. Je l’assume. Je l’explique. Parce que si je veux qu’on me fasse confiance pour rédiger vos contenus professionnels, je commence par vous parler en professionnel.

Alors non, je ne suis pas contre l’IA. Je ne vais pas lui taper dessus gratuitement pour faire joli dans un article. Mais je sais parfaitement ce qu’elle peut m’apporter… et ce que je dois continuer à faire moi-même, avec mes neurones et mes doigts, et mon imagination qu’on dit débordante.

J’étais publié bien avant ChatGPT (et ça compte)

L’intelligence artificielle a débarqué dans le monde de la rédaction comme une rockstar en tournée mondiale : tout le monde en parle, certains l’adorent, d’autres la redoutent, et une bonne partie ne sait pas trop si elle doit applaudir ou fuir.

Mais moi, avant tout ça, je remplissais déjà des pages. Avec mes propres mots. Avec mes propres doutes, mes propres nuits blanches, et mon moka trop fort.
En 1998 – oui, à l’époque où Google n’était même pas une habitude – j’étais déjà publié en tant qu’auteur de nouvelles. Et ça, je ne le dis pas pour me la raconter (quoique, un tout petit peu, allez), mais pour vous rappeler une chose essentielle : écrire, c’est devenu mon métier. Et surtout, c’est ma passion.

Je n’ai pas attendu qu’un logiciel me souffle une tournure de phrase pour savoir raconter une histoire, capter une émotion ou structurer un argumentaire. Je n’ai pas non plus attendu qu’un algorithme m’indique les mots-clés à insérer pour savoir comment parler aux lecteurs – aux vôtres, comme aux miens.

Alors, quand j’utilise une intelligence artificielle pour générer une image ou dégrossir une idée, je le fais avec mon expérience, mon regard, mon style. Et surtout, je le fais en connaissance de cause. Un peu comme un chef cuisinier qui utilise un bon couteau : ce n’est pas l’ustensile qui donne du goût au plat, c’est la main qui le manie.

Et ça change tout.
Parce que ce que je vous propose, ce n’est pas une série de phrases sans âme recrachées par une machine. C’est du contenu écrit par quelqu’un qui écrit depuis toujours, pas depuis que c’est à la mode. Et honnêtement, vous méritez mieux qu’un texte fade, anonyme, et recyclé pour la douzième fois dans la semaine.

Pourquoi je n’écris jamais mes articles avec une IA

jeune rédacteur chauve tirant ses cheveux en signe de stress face à l’écriture d’un article SEO

Voilà pourquoi il ne reste que le logo CASTELWEB sur le t-shirt… et plus rien sur la tête.

Soyons francs : je pourrais. Comme beaucoup de rédacteurs, j’ai accès aux mêmes outils que tout le monde. En quelques clics, une intelligence artificielle peut générer un article de 1000 mots, avec un semblant d’intro, de plan, de mots-clés… et même une petite conclusion toute mignonne.
Mais justement: un semblant d’article. Un semblant seulement.

Moi, je n’écris pas des semblants. J’écris des vrais contenus. Pensés pour vos lecteurs. Structurés pour Google. Et surtout, rédigés avec ce petit supplément d’âme qu’aucune machine ne peut mimer sans vous perdre en route.

Je ne laisse jamais une IA rédiger mes textes, parce que :

  • elle n’a pas de vécu (elle n’a jamais mis les pieds dans un atelier d’artisan ou une salle de consultation) ;

  • elle ne comprend pas l’intention derrière vos services (ni l’émotion que vous voulez transmettre) ;

  • elle ne sait pas choisir entre un ton professionnel doux ou un style plus piquant (moi si, et je peux le moduler en fonction de votre public cible).

Et surtout… je tiens à mes lecteurs.
Je tiens à ceux qui me lisent, à ceux qui me font confiance pour parler d’eux, à ceux qui veulent des contenus vivants, authentiques, aérés, humains. Je tiens aussi à ma crédibilité. Parce que Castelweb, c’est moi. Et si je commence à tout déléguer à une machine, je me trahis. Simplement.

Et puis entre nous, les moteurs de recherche ne sont pas dupes. Ce n’est pas parce qu’un texte passe un outil de détection IA qu’il va charmer Google. Un contenu fade reste un contenu fade. Et un visiteur qui sent que votre site sonne faux ? Il file ailleurs.
C’est là que mon métier entre en jeu. Et mon expérience. Et mon stylo (numérique, mais bien humain).

L’intelligence artificielle peut nuire gravement à vos contenus

On vous l’a peut-être déjà dit : « L’intelligence artificielle peut faire gagner du temps ». Oui. Parfois. Sur certaines tâches. Mais pas sans risque, surtout quand il s’agit de rédaction de contenu destiné à être lu… par des humains.

Car aussi brillante soit-elle, une IA ne comprend pas. Elle recopie, elle assemble, elle génère. Mais comprendre ? S’adapter à un ton ? Ajouter un brin d’humour parce que vous êtes thérapeute mais que vous aimez l’autodérision ? Cibler un vocabulaire précis parce que vous vous adressez à des artisans et non à des étudiants en sociologie ? Là, elle cale.

Et le pire, c’est que ça se voit.

  • Des tournures maladroites.
  • Des paragraphes interminables ou vides de sens.
  • Des phrases qui sonnent bien, mais qui ne veulent rien dire.
  • Et des métaphores sorties d’un jeu de bingo mal réglé.

Résultat :

  • L’internaute décroche (et il ne revient pas) ;

  • Votre message ne passe pas (et votre concurrent, lui, en profite) ;

  • Google le repère, et il ne rigole plus du tout.

Car oui, les moteurs de recherche, eux aussi, deviennent très doués pour reconnaître un contenu artificiel. Ce n’est pas encore du flicage automatisé (et tant mieux), mais quand un texte manque de naturel, de structure humaine, d’originalité… Google baisse son pouce. Et avec lui, votre position dans les résultats. C’est donc son arrêt de mort que le rédacteur sihgne là. Alors autant être clair : l’intelligence artificielle peut nuire gravement à vos contenus. Et à votre crédibilité. Et à votre visibilité.

Chez Castelweb, je préfère faire moins, mais mieux. Un texte bien écrit, fluide, pertinent, utile… a bien plus de chances de séduire les moteurs et vos lecteurs qu’un contenu généré à la va-vite par un programme bien entraîné, mais totalement déshumanisé.

Et entre nous, vous ne vendez pas des services à des robots. Alors pourquoi leur confier la rédaction de votre vitrine en ligne ?

Ce que les moteurs attendent vraiment de mes contenus

On entend beaucoup de choses sur le référencement : des mots-clés, des balises, des longueurs optimales, des titres bien pensés… Oui, tout ça compte. Mais vous savez ce que veulent vraiment les moteurs de recherche — et notamment Google ?
Du bon sens. De la clarté. Et surtout, du contenu écrit pour des humains.

Et ça, une IA peine encore à le livrer. Elle empile les phrases comme on empile des boîtes de conserve. Moi, je construis des textes comme une recette maison : avec une base solide, un peu d’épices, et ce petit quelque chose qui donne envie de revenir.

Google, lui, analyse la lisibilité, la pertinence, la structure. Il regarde si le contenu répond à une intention de recherche, s’il est fluide à lire, bien organisé, aéré, agréable. Et s’il sent le réchauffé, il le relègue direct en bas de page.
Quant à vos lecteurs ? Ils font pareil, mais sans l’algorithme. Juste avec leur instinct.

C’est pour ça que je soigne chaque contenu comme s’il allait représenter votre entreprise en personne, parce que c’est le cas.
Un texte mal foutu ou trop “robotisé”, c’est comme un flyer mal imprimé : on ne le lit pas, on le jette.

Chez Castelweb, je m’applique à produire :

  • des articles clairs, bien structurés, avec de vrais sous-titres qui guident la lecture ;

  • des textes rédigés en langage naturel, pas en copier-coller algorithmique ;

  • des contenus utiles, qui apportent une réponse, une information, ou une réflexion à vos visiteurs.

Et pour ça, je n’ai pas besoin d’une IA rédactrice. J’ai mon expérience, mon clavier, mon oreille, mon humour, et ma capacité à m’adapter à votre métier, à vos cibles, à votre manière de communiquer.

Nouvelle collaboration ? Profitez de mon offre spéciale

Vous l’aurez compris : chez Castelweb, je n’écris pas à moitié. Je n’écris pas à la chaîne non plus. Et je n’écris surtout pas avec une IA en pilote automatique.
Chaque article, chaque contenu que je vous propose, je le construis sur mesure, avec l’attention d’un artisan, la rigueur d’un professionnel, et le style d’un humain (authentique, et parfois légèrement caféiné).

Alors si vous cherchez quelqu’un pour rédiger vos contenus SEO, vos pages de présentation, vos fiches produits ou vos articles invités, vous êtes au bon endroit.

Et puisque je suis pour les relations sincères, je vous propose un premier pas tout en douceur :

🎁 Une offre spéciale réservée aux nouveaux clients, pour découvrir mon travail, mon style, mon approche… et vérifier par vous-même que les vrais mots ont encore de beaux jours devant eux.

Alors oui, soyons honnêtes : sur le coup, je suis un peu perdant. Je passe parfois quatre heures sur un article proposé à un tarif d’essai, parce que je veux que tout soit parfait. Parce que je prends le temps de m’immerger dans votre univers, de choisir les bons mots, d’ajuster chaque phrase comme il faut.

Mais je le fais avec plaisir. Pourquoi ? Parce que je sais que vous serez satisfait. Et que, très souvent, vous reviendrez vers moi pour commander un deuxième article. Cette fois-ci au juste prix, celui qui correspond à la qualité du travail livré et au temps que j’y aurais passé.

C’est un pari, certes. Mais un pari humain, honnête, et qui fonctionne.
Et entre nous, c’est quand même plus sympa qu’un chatbot qui vous vend un texte en 30 secondes… sans même savoir ce que vous faites dans la vie.

Vous avez un site vitrine, un blog à lancer, une activité à faire connaître ? Vous êtes coach, thérapeute, artisan, commerçant, ou simplement un professionnel qui veut des textes de qualité sans langue de bois (ni clavier automatique) ?
Écrivez-moi. Et je vous écrirai. Pour de vrai.